Résumé : Une romance universitaire sombre, sensuelle et addictive.
Suite à un événement traumatique, Léna quitte la France pour suivre des études à l’université de Yale.
Alors qu’elle tente de se faire discrète, elle fait la désagréable rencontre de Sacha Dalgaard, capitaine de l’équipe de lacrosse doté d’une arrogance sans borne, et véritable coqueluche du campus.
Avec sa plastique dépourvue de défaut et ses yeux bleus, le jeune homme semble avoir le monde à ses pieds. Il serait parfait si seulement il n’exsudait pas autant le mystère… et le danger.
Comment est-il possible qu’un regard si clair soit empli de ténèbres ?
Sans le savoir, Léna y plongera pour découvrir l’écho d’une noirceur enfouie au fond d’elle-même, quitte à y laisser un peu plus que la raison… un fragment de son âme.
Je tiens à remercier l'auteur, K. Jarno, pour ce service presse et pour sa confiance.
Il est des romans si intenses qu’il vous faut faire des pauses pour reprendre votre souffle tant vous
avez la gorge nouée, l’estomac en vrac, le cœur en étau et l’esprit vrillé par l’émotion. « The Four
Wingmen Of The Apocalypse » est de cette trempe là, une pure merveille! C’est tout simplement
mon premier coup de foudre de cette année 2022! Et je sais déjà qu’avec Kentin ce ne sera pas le
dernier…
Avec ce récit, Kentin renoue avec ce côté un peu sombre qui m’avait déjà bouleversée, notamment
lorsque j’ai découvert « Le secret qui nous lie » et «My Torrid Stepbrother ». C’est un style qui lui
sied parfaitement et il le maîtrise si bien ! Cette histoire lui permet de mettre en avant des thèmes
particulièrement forts, des sujets qui nous touchent tous d’une manière ou d’une autre. Il a cette
facilité à vous embarquer totalement dans son univers, que chaque fois c’est comme si vous viviez
son histoire, comme si vous ressentiez personnellement tout ce qu’éprouvent et endurent Sacha et
Léna, ses personnages. Ils m’ont touché l’âme de façon différente, que je m’identifie ou que je
comprenne, ce sont un millier de sensations que j’ai vécues grâce (ou à cause ?) d’eux. De
l’angoisse à l’euphorie, du rire aux larmes, ils m’ont emmenée si loin, ont laissé une empreinte si
profonde…
Sacha est très complexe, il donne une première impression détestable, il faut bien le dire. J’avoue
d’ailleurs avoir eu l’insulte facile le concernant avant d’apprendre à le connaître. C’est un
personnage fascinant à bien des égards. Il jongle sans cesse entre l’image publique du bad boy
arrogant qu’il se doit de véhiculer en tant que « Wingman » et sa face plus intime où il apparaît
brisé, impuissant et perdu. Il ne peut jamais se permettre de lâcher prise quel que soit le domaine…
Jusqu’à l’arrivée de Léna. Une âme aussi meurtrie que la sienne, qui provoque un trouble inédit
chez lui.
Léna a fuit la France est espère se reconstruire loin de chez elle, en se faisant la plus discrète
possible. Seulement lorsqu’elle rencontre Sasha, l’un des rois du campus, tout est de suite
électrique. Très vite il devient le seul à pouvoir la faire sortir de ses gonds, pour la discrétion, ce
n’est pas gagné… Il l’agace au plus haut point, certes, mais il y a bien plus que ça. Une attirance
magnétique indéniable la pousse vers lui, au risque de perdre peut-être jusqu’à la raison. Elle décèle
chez lui une dangerosité qu’il effraie autant qu’elle l’aimante. Quelque chose en lui l’appelle, parle
directement à sa part la plus enfouie…
Pourquoi?
Peut-être parce que les yeux de Sacha reflètent une âme qui fait écho à la sienne...
Ce roman impose une lecture en tension constante, tant la trame est riche et haletante, emplie
d’une intensité et d’une profondeur que Kentin maîtrise plus que quiconque. Un récit aux mille
nuances d’émotions, mille nuances d’une plume qui m’emporte et me chavire, mille nuances d’un
auteur devenu le seul à me faire ressentir toutes ces choses, aussi contradictoires que grisantes.
Une pépite éprouvante et fascinante où tout est réuni, un petit bijou sur lequel il faut absolument
se ruer!
Surtout, surtout, foncez!!!
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