The Gash de Emily Jurius
Résumé :
CÉLESTE
C’est quand même fou cette capacité qu’ont les gens à avoir un avis sur une situation qu’ils n’ont jamais éprouvé. Et moi je suis clairement en train d’en faire les frais. Entre des amis qui se permettent de juger ma vie et un agent qui m’envoie filer un coup de main à une rock star à l’autre bout de la France, merci du cadeau. Et comme je ne suis pas assez impressionnée de me retrouver toute seule ici, voici que mon colocataire de salle de bains s’avère être un véritable démon. Mais alors le genre bien gratiné +++, un véritable boulet qui vit au crochet de sa sœur et qui visiblement ne peut pas m’encadrer.
Non vraiment je sens que cet été sera des plus déroutant.
BÉRYL
Comme si ma vie n’était pas suffisamment compliquée avec cette blessure et la désertion de mon propre appart, il a fallu que ma perfide de frangine me colle dans les pattes une petite peste de Madame Jesaistout. Putain mais elle, je jure qu’elle va regretter de venir fourrer ses sels de bains sous mon nez !
Je tiens à remercier l'auteure, Emily Jurius, pour ce Service Presse et pour sa confiance.
💕Auto-édition
💕Sortie mars 2020
💕Lien amazon : cliquez ici
💕Romance contemporaine
#L'AVIS DE CANDICE
Deux caractères fort, deux personnes abimées par la vie, deux êtres diamétralement opposés qui
se rencontrent, il y a fatalement des étincelles.
Alors imaginez une cohabitation forcée!
Céleste Grant est une parolière de renom qui collabore souvent avec les stars de la musique. Son agent lui demande ainsi d’aider un artiste pour l’écriture de son prochain disque. Malgré ses réticences, elle accepte de partir tout l’été loin de chez elle, loin des siens, pour honorer l’engagement. À son arrivée, elle fait la connaissance de Fred la rock-star et de Laure, sa femme. Ils sont adorables avec elle, la mettent à l’aise et lui propose de s’installer chez eux pour faciliter le travail. La seule ombre au tableau, Béryl le frère de Laure.
Une sorte de pauvre type, désagréable et mal élevé qui est également hébergé chez Laure et Fred. D’entrée, ils se prennent en grippe. Béryl voit Céleste comme une intruse qui va s’imposer dans sa routine. Céleste le considère comme un parasite. En prime ils vont plus ou moins être colocataires puisqu’ils vont partager la même salle de bain. En bref, c’est le clash assuré!
Les affrontements et les piques deviennent légion.
Qui aura l’ascendant sur l’autre?
Céleste est une femme meurtrie qui n’a pas été épargnée par les épreuves. Maman solo, elle protège, voire surprotège ses enfants. Elle a peur d’en faire trop et de les empêcher de s’épanouir. Même si c’est un déchirement pour son cœur de mère, cette opportunité de travail lui permettrait de lâcher du lest, de relâcher une pression qu’elle s’inflige à elle-même. Elle a un sacré caractère, ne se laisse déjà pas dicter sa conduite en temps normal alors face à Béryl, ça risque d’être une guerre d’usure.
Béryl a également beaucoup souffert, son corps est marqué à jamais. Son mal-être le pousse à se comporter en connard arrogant. Je vous dirais bien qu’il n’en est rien mais franchement, c’est tout de même un sale con! Il s’est visiblement toujours conduit comme un gamin capricieux et ce qu’il a vécu n’a pas aidé puisque personne ne veut brusquer le « balafré ».
La seule qui va oser... Céleste.
Leurs échanges dégénèrent vite en joutes verbales, c’est à celui qui poussera l’autre dans ses retranchements. Entre le cynique et la peste tout devient rapidement tendu, électrique. Cette tension d’ailleurs n’est pas seulement due à leur comportement quasi puéril, il y a ce désir latent, mélange ambigu d’attraction et de répulsion que l’un comme l’autre ne savent gérer ni expliquer. Encore moins admettre. C’est en succombant de la manière la plus torride qui soit qu’ils parviendront à s’apprivoiser, se comprendre et peut-être s’aider mutuellement. Car si chacun mène, seul, un combat ô combien difficile, ensemble ils pourraient trouver le chemin de la résilience...
L’auteure sait aisément aborder des thèmes très durs avec finesse et justesse. Tout est distillé par petites touches tout au long du récit et fait monter les émotions crescendo. Les personnages sont tous (oui même Béryl!) attachants, touchants et surtout hauts en couleurs. Chaque personnalité apporte sa pierre à l’histoire. Je n’imagine pas Céleste sans ses enfants, sa chair et son sang. Ni Béryl sans sa louve de grande soeur et sans son beau-frère adorable mais qui sait si bien appuyer là où ça fait mal.
J’ai déjà eu la chance de faire la chronique l’un des précédents romans de l’auteure, une chose est sûre, j’apprécie toujours autant la plume d’Emily Jurius! Elle est tout à la fois fluide et prenante, douce mais intense, sensuelle et émouvante. Un cocktail parfait qui a fait de moi une addict, une lectrice conquise qui n’a plus qu’un mot à dire : foncez!
Alors imaginez une cohabitation forcée!
Céleste Grant est une parolière de renom qui collabore souvent avec les stars de la musique. Son agent lui demande ainsi d’aider un artiste pour l’écriture de son prochain disque. Malgré ses réticences, elle accepte de partir tout l’été loin de chez elle, loin des siens, pour honorer l’engagement. À son arrivée, elle fait la connaissance de Fred la rock-star et de Laure, sa femme. Ils sont adorables avec elle, la mettent à l’aise et lui propose de s’installer chez eux pour faciliter le travail. La seule ombre au tableau, Béryl le frère de Laure.
Une sorte de pauvre type, désagréable et mal élevé qui est également hébergé chez Laure et Fred. D’entrée, ils se prennent en grippe. Béryl voit Céleste comme une intruse qui va s’imposer dans sa routine. Céleste le considère comme un parasite. En prime ils vont plus ou moins être colocataires puisqu’ils vont partager la même salle de bain. En bref, c’est le clash assuré!
Les affrontements et les piques deviennent légion.
Qui aura l’ascendant sur l’autre?
Céleste est une femme meurtrie qui n’a pas été épargnée par les épreuves. Maman solo, elle protège, voire surprotège ses enfants. Elle a peur d’en faire trop et de les empêcher de s’épanouir. Même si c’est un déchirement pour son cœur de mère, cette opportunité de travail lui permettrait de lâcher du lest, de relâcher une pression qu’elle s’inflige à elle-même. Elle a un sacré caractère, ne se laisse déjà pas dicter sa conduite en temps normal alors face à Béryl, ça risque d’être une guerre d’usure.
Béryl a également beaucoup souffert, son corps est marqué à jamais. Son mal-être le pousse à se comporter en connard arrogant. Je vous dirais bien qu’il n’en est rien mais franchement, c’est tout de même un sale con! Il s’est visiblement toujours conduit comme un gamin capricieux et ce qu’il a vécu n’a pas aidé puisque personne ne veut brusquer le « balafré ».
La seule qui va oser... Céleste.
Leurs échanges dégénèrent vite en joutes verbales, c’est à celui qui poussera l’autre dans ses retranchements. Entre le cynique et la peste tout devient rapidement tendu, électrique. Cette tension d’ailleurs n’est pas seulement due à leur comportement quasi puéril, il y a ce désir latent, mélange ambigu d’attraction et de répulsion que l’un comme l’autre ne savent gérer ni expliquer. Encore moins admettre. C’est en succombant de la manière la plus torride qui soit qu’ils parviendront à s’apprivoiser, se comprendre et peut-être s’aider mutuellement. Car si chacun mène, seul, un combat ô combien difficile, ensemble ils pourraient trouver le chemin de la résilience...
L’auteure sait aisément aborder des thèmes très durs avec finesse et justesse. Tout est distillé par petites touches tout au long du récit et fait monter les émotions crescendo. Les personnages sont tous (oui même Béryl!) attachants, touchants et surtout hauts en couleurs. Chaque personnalité apporte sa pierre à l’histoire. Je n’imagine pas Céleste sans ses enfants, sa chair et son sang. Ni Béryl sans sa louve de grande soeur et sans son beau-frère adorable mais qui sait si bien appuyer là où ça fait mal.
J’ai déjà eu la chance de faire la chronique l’un des précédents romans de l’auteure, une chose est sûre, j’apprécie toujours autant la plume d’Emily Jurius! Elle est tout à la fois fluide et prenante, douce mais intense, sensuelle et émouvante. Un cocktail parfait qui a fait de moi une addict, une lectrice conquise qui n’a plus qu’un mot à dire : foncez!
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