Coloc avec mon boss de Erin Graham
Étienne est froid, charismatique, et ne recule devant aucun challenge.
Il maîtrise tout dans les moindres détails… jusqu’à ce qu’une petite comptable au look improbable et aux fleurs dans les cheveux s’impose dans son quotidien.
Elle est fantasque, pleine de vie, rit face aux règles et les contourne, parle tout le temps sauf de son passé… Et elle le rend dingue. Pourtant, impossible de la virer.
Elle a besoin d’un boulot et d’un toit, il a besoin d’une fausse fiancée…
Marché conclu ?
- Editions Addictives Collection LUV
- Sortie le 24 juillet 2020
- Lien Amazon : cliquez ici
- Romance contemporaine
Un mot, un seul les Addicts : WAHOOOOOOOOOOOOUUUUUUU !
Je termine à peine de livre…et même si j’ai d’autres chroniques sur le feu, je ressens le besoin irrésistible de vous donner mon avis sur le dernier livre d’Erin Graham « Coloc avec mon boss ».
Mais quel livre ! Quelles sensations ! Quel étourdissement ! Quelle ivresse ! Je dois dire que j’ai été plus que sensible à cette lecture et je ne sais pas par où commencer pour vous faire partager mon avis.
Vous l’aurez compris, pour moi c’est plus que positif comme ressenti. J’ai totalement kiffé !
J’ai fondu pour le boss, Monsieur Etienne Maréchal ! Je me suis laissée prendre au jeu et j’ai imaginé être à la place d’Elisabeth, son employée.
Que ce soit lors de leur rencontre, lors de leurs conflits, ou dans leurs moments de complicité, mon cœur a palpité. Si si, je vous jure ! Je vous avais prévenu que je m’y voyais déjà.
Alors comment résister face à un tel livre, quand en plus, son héroïne est une grande fane du film « Autant en emporte le vent », tout comme moi !
Des répliques du film, les contrées où se déroulent l’histoire, tout y est !
C’est là que je suis tombée doublement amoureuse ! Une fois pour l’histoire, et la seconde pour les références à ce magnifique film de 1939 (ok j’avoue, j’ai dû regarder Google pour confirmer mon idée sur la date de parution).
J’exagère à peine, je vous assure.
Alors mon intérêt global pour l’histoire (et surtout mon exaltation), je pense que je vous l’avez bien intégré.
Parlons du scénario et de cette superbe plume que nous partage Erin Graham.
L’histoire ne fait pas tout, c’est son auteure qui nous dirige et nous « appâte » avec des éléments tels que un employeur sexy mais distant, une employée loufoque et secrète, une colocation contrainte mais nécessaire, et même surprenante.
Et que dire des scènes si bien décrites ? Si je vous dis que j’ai été tellement conquise, et que je me suis totalement prise au jeu et imaginée à la place de nos héros, vous vous rendez bien compte que c’était également valable pour les scènes plus « hot » 😉 Chaud devant les filles, la famille Maréchal est dans la place !!
Mais bien sûr, en lisant le résumé, vous vous demandez quand même « comment les héros ont pu en arriver là ? ».
C’est tout simple !
La société Maréchal, en recherche de financement, doit prouver à ses investisseurs que les enfants de la famille Maréchal, sont aussi sérieux que leurs parents. Et ce, jusque dans leur vie privée.
L'aîné des Maréchal, qui est à la tête de l’empire, est tellement froid et investit dans son entreprise, qu’il est totalement impensable de le voir éprouver à nouveau des sentiments pour une personne extérieur à son cercle familial.
Thierry est appelé Robocop par ses subordonnés. Et pour cause, c’est une machine au travail !
Il ne perd jamais de vue ses objectifs, et ne retient que l’essentiel. Connaitre le prénom de chacun de ses employés serait trop lui demandé. A quoi bon ? Il n’est pas là pour ça, et il ne compte pas se rapprocher de l’un deux, au risque d’être encore déçu ou distrait de son objectif.
Son frère Antoine, qui profite de la vie et des femmes, et sa sœur Ophélie, prochainement mariée à sa fiancée, ne sont pas considéré par les investisseurs comme des symboles de stabilité familiale.
C’est donc Thierry qui va devoir se trouver rapidement une fiancée et paraître totalement « in love ». Ce qui n’est pas une mince affaire, lui qui est si distant. Mais cette distance qu’il s’impose trouve sa raison dans son passé (suspense…. 😉).
Le passé ? Lizy tente de l’oublier.
Entourée de Josh, son ami grâce à qui elle a dégoté un job dans la société des Maréchal, elle essaie de vivre sa nouvelle vie.
Seuls deux personnes ne l’ont jamais déçue : Josh et son père.
Alors qu’elle essuie une nouvelle rupture, et que ni son ami, ni son papa ne sont là pour l’aider, Lizy n’aura d’autre choix que de sonner à la porte des frères Maréchal.
C’est un effort considérable, quand on sait que, une heure auparavant, elle démissionnait de son poste suite à une proposition malhonnête de ses employeurs.
Une fiancée de dernière minute et pour quelques jours seulement. C’est tout ce dont Thierry a besoin. Et il ne comptait pas le demander à cette comptable dont il ne retient même pas le prénom.
C’est en tout cas ce qu’il comptait faire croire à son frère et sa sœur. Ce sont eux, qui l’obligent à se tourner vers cette jeune femme au look totalement bohème et aux cheveux fleuris.
Cependant l’entrevue tourne mal et la fausse fiancée s’évapore.
Mais le destin joue parfois avec les gens. Et notre héroïne se verra dans l’obligation de demander de l’aide à ses employeurs.
Elle qui espérait pourvoir intégrer le logement de fonction de la société, se retrouve en colocation (salle de bain partagée) avec son boss, Robocop.
Mais il n’a de robot que son attitude extérieur. A l’intérieur c’est un brasier. Et celui de Lizy aurait bien besoin d’être attisé.
Avec leurs discordances, et leur tempérament totalement différent, la colocation va finalement prendre une autre tournure. La guéguerre entre nos deux protagonistes va aboutir à son apogée lorsqu’Elisabeth va laisser libre cours à sa frustration et à son emportement.
Le scénario de la fausse fiancée va devenir une évidence, bien malgré eux.
Et là va commencer le jeu le plus exaltant de leur vie, mais aussi le plus dangereux.
Comment paraître aussi proche que deux êtres prêts à se marier, lorsque l’on ne peut se livrer à l’autre en toute sincérité ? Succomber serait totalement inapproprié pour Thierry, lui qui prône la non-relation entre les dirigeants et les dirigés. Lizy elle-même n’y voit aucune possibilité, son boss étant aussi froid et insensible que la machine dont il porte si bien le surnom.
Affolant, attirant, excitant ! Tant d’adjectifs que je pourrais vous donner.
Je n’ai qu’un seul regret : je n’imagine absolument pas Thierry comme le beau gosse de la couverture du livre 😋
Alors si vous voulez vous faire votre propre opinion les Addicts, succombez à cette lecture et laissez-vous emporter par le vent de ce roman coup de cœur 😃
Commentaires
Enregistrer un commentaire